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samedi 27 avril 2013

IL Y A PATRON ET PACRON. A VOUS DE CHOISIR.

"L'AUSTERITE CONDUIT DANS LE MUR"
Qui est venu rejoindre le camp des Economistes, des Syndicalistes  notamment ceux de la CGT, des Politiques , qui dénoncent depuis fort longtemps cette évidence?
Vous allez être surpris, trés surpris, c'est Louis GALLOIS, l'ancien patron d'EADS.
Selon lui, les Gouvernements ne prennent pas suffisament en compte l'impact sur la croissance de ces politiques d'austérité et  de préconiser une priorité trés forte à la reconquête de la croissance.
Quel lien avec les Hôpitaux de Lannemezan?
Il est simple. La politique d'austérité mis en place par le directeur des Hôpitaux de Lannemezan conduit elle aussi dans le mur.
Le mur de la dégradation de la qualité des soins, le mur de la dégradation de la qualité des conditions de travail, le mur de la souffrance des Patients et des Personnels, le mur de la suppression d'emplois, le mur du chômage.
En fait le MUR DE L'ASILE.

L'HOMME DES RECORDS!
Jamais nous n'avions connu un directeur qui aura fait tant de mal aux Hôpitaux de Lannemezan.
Jamais nous n'avions connu un directeur qui aura supprimer autant d'Emplois en si peu de temps.
Jamais nous n'avions connu un directeur qui refuse d'appliquer la LOI. OUI vous avez bien vu la LOI.

L'austérité dans un établissement de Santé, c'est :
- Le non remplacement des départs à la retraite,
- La diminution des effectifs dans les Services Administratifs, Techniques, Logistiques et de Soin,
- La taxation des Patients dans certaines Unités,
- La remise en cause de certaines prises en charge avec la suppression du repas thérapeutique,
- La remise en cause d'accords sociaux qui existent depuis de nombreuses années,
- L'abandon de certaine maintenance qui entraîne des pannes de machines,
- Un coup d'arrêt à l'HUMANISATION des services de Soin qui laisse les Patients dans des conditions d'hospitalisation indignes de notre temps,
- La suppression des Emplois d'été, ETC, ETC, ETC...... 



La PREUVE

Un dernier exemple c'est l'application du décret de loi qui résorbe l'emploi précaire. Cet accord débouche sur la titularisation d'Agents qui sont dans la précarité depuis plus de 6 ans.
Plus de 6 ans sans prime de fin d'année, plus de 6 ans sans augmentation de salaire, plus de 6 ans dans l'angoisse de voir son contrat de travail renouvelé ou pas, plus de 6 ans dans l'insécurité sociale.
Alors que le décret de Loi est paru au journal officiel, le directeur ne veut pas l'appliquer.
Un directeur qui refuse d'appliquer la LOI est un H--- L- L--!
Quelques exemples concrets sur les conséquences de la politique d'austérité ou la baquetisation:
- En Pédopsychiatrie, le manque de personnel entraîne la suppression d'activité avec les enfants.
Ces activités sont nécessaires pour la prise en charge de ces enfants qui souffrent. Elles permettent de les apaiser , de retrouver une confiance pour affronter les difficultés de la vie sociale.
C'est scandaleux, que par souci d'économie budgétaire, la direction sacrifie ces enfants sur l'autel de la l'équilibre budgétaire.

Pour nous la SANTE n'a pas de prix pour le directeur que du mépris.

En Psychiatrie Adulte, c'est identique. Les effectifs Soignants sont en constante diminution avec toutes les conséquences sur le SOIN. Avec l'effectif au minimum on soigne au minimum et la souffrance mentale ne peut pas se contenter de prise en charge minimum.
Nous sommes proche de la maltraitance institutionnelle.
Pour économiser, la direction et les médecins ont supprimés des postes médicaux.  Première conséquence,  suppression de la consultation de psychiatre à Luchon.
Les élus politiques au Conseil de Surveillance aux abonnés absents.
Alors que certains élus socialistes contestent la politique d'austérité mis en place par le gouvernement, les nôtres, Mme Durrieu, Mr Plano, Mr Piazzer, Mr Verdier dorment ou cautionnent la baquétisation. Notre grande malchance, ils doivent se situer, sans doute, à l'aile droite du Parti Socialiste.



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