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mercredi 28 mars 2012

AFFAIRE A SUIVRE.

Il y a 2 ans la direction des Hôpitaux de Lannemezan avait proposé la fermeture du bloc opératoire la nuit. Le président du Conseil de Surveillance de l'époque, Mr Forgues Henri, avait fait voter cette instance, favorablement, à cette proposition.

La CGT s'est alors mis en ordre de bataille pour combattre ce projet, néfaste aux Hôpitaux de Lannemezan, remettant en cause l'ensemble des Services du CMC, mais aussi pouvant avoir des répercussions dramatiques sur des urgences la nuit.

Après maintes pirouettes dont les politiques ont le secret ce projet a été retiré.

D'après nos informations, cette fermeture la nuit serait de nouveau d'actualité.

Affaire à suivre.

lundi 26 mars 2012

L'EQUIPE DE BRANCARDAGE DU CMC, TOUJOURS EN LUTTE.

Malgré l'accueil anti républicain réservé au Député Jean GLAVANY, par la direction des Hôpitaux de Lannemezan, nous avons pu échangé avec ce parlementaire sur les problèmes de Santé, la précarité de certains Agents dans la fonction publique hospitalière, l'avenir de l'offre de soin dans notre département et la place de la psychiatrie dans notre établissement.

Merci Monsieur Glavany, vous êtes le premier à nous avoir rencontré, nous espérons que vous ne serez pas le seul!

dimanche 25 mars 2012

USAGERS, ASSURES SOCIAUX, LE 29 MARS : MANIFESTONS

Pour une reconquête de la Protection Sociale.
Pour un grand service public de Santé et d'Action Sociale.
JAMAIS notre protection sociale et notre système de santé et d'action sociale n'avaient subi d'attaques aussi puissantes que ces dernières années.

Notre pays est malade!
Non pas d'une épidémie passagère, mais d'une pathologie dangereuse et persistante:
la recherche constante par le patronat du profit maximum.

Tous les secteurs sont attaqués.
- Dans la Sécurité Sociale, à Pôle Emploi, les groupes de protections sociales, on restructure, on supprime massivement des emplois, on ferme les guichets CPAM, CAF, CNAV, ... .

- Dans l'aide à domicile, on précarise encore plus les salariés.

- Dans la mutualité, on licencie, on ferme les centres de santé

- Dans la santé et dans l'action sociale, le gouvernement poursuit sa politique de casse et de démantèlement:
. des heures d'attente aux urgences,
. le déremboursement des produits pharmaceutiques,
. les franchises médicales,
. les fermetures de maternité de proximité,
. l'absence de prises en charge et de suivi des pathologies psychiatriques du fait de la diminution des moyens,
. la marchandistion de la prise en charge des Personnes Âgées,
. les groupements de coopération sanitaire public/privé, les partenariats public/privé favorisant le privé lucratif au détriment du public,
. les fermetures de services et d'hôpitaux de proximité...

Depuis que le gouvernement et le patronat se sont entendus pour mettre en place une politique de "rentabilité du soin", faire de la maladie, du handicap ou de la personne âgée des marchandises rentables, la précarité de l'emploi dans nos secteurs n'a cessé d'augmenter.Les recettes de la Sécurité Sociale ont été détournées au profit des trusts pharmaceutiques du secteur assuranciel et bancaire.

C'est d'une autre politique, adossée à un véritable service public et à d'autres choix de société dont nous avons besoin, englobant tous les pans de la protection sociale.
Pour cela, il est nécessaire d'agir sur tous les leviers qui contribuent au financement et au développement de la protection sociale. 

Chacun paye selon ses moyens et reçoit selon ses besoins!

Le JEUDI 29 MARS 2012
USAGERS, ASSURES SOCIAUX
AGISSONS! 
RENDEZ-VOUS PLACE au Bois

12H, Pique nique de la COLERE

14H, MANIFESTATION

jeudi 22 mars 2012

UNE ATTITUDE ANTI-REPUBLICAINE.

Chaque individu a le droit d'avoir ses convictions politiques .

Cela s'appelle la DEMOCRATIE.

Mais lorsqu'on occupe certaines fonctions, on se doit de laisser ses convictions de côté, afin de traiter l'ensemble des acteurs politiques de la même façon.

Cela s'appelle le devoir de RESERVE.

Notre directeur, jeudi 22 mars 2012, n'a pas respecté son devoir de réserve.

En refusant aux Représentants du Personnel CGT la salle de réunion du CMC pour recevoir Monsieur Jean GLAVANY, Député des Hautes Pyrénées, le directeur des Hôpitaux de Lannemezan a franchi le ligne qui sépare la fonction et le partisan.

Cela démontre une attitude anti-républicaine, inacceptable et scandaleuse de la part d'un fonctionnaire.
Cela démontre un manque de lucidité important dans la conjoncture actuelle.

Nous remercions Monsieur Glavany d'avoir fait le déplacement aux Hôpitaux de Lannemezan pour rencontrer l'équipe de brancardage et les Personnels.

Nous nous excusons de n'avoir pu le recevoir dans des conditions plus confortables.

Nous reviendrons sur le contenu de cette rencontre.

samedi 17 mars 2012

UN DOSSIER DANS MARIANNE ANGOISSANT. QUELQUES EXTRAITS.

Le Suicide, enquête sur un mal français.

"Et maintenant elle tue. Cette crise économique terrible, la plus brutale depuis 1929, cette crise qui détruit les emplois, saccage les vies, ronge les morals, voici que sa main silencieuse étouffe depuis trois ans le dernier souffle de milliers d'individus.       Silence, on tue.

La revue médicale britannique The Lancet sonnait l'alarme dans un enquête soulignant que depuis fin 2008 les suicides avaient augmenté d'au moins 5% dans 9 pays d'Europe disposant de statistiques.
En Grèce et en Irlande, plus gravement, ils ont explosé de 17 et 13%.... En France, le psychiatre et professeur de médecine légale Michel Debout, président de la prévention du suicide, estime qu'un surcroît d'environ 750 suicides et 10000 tentatives sont imputables à la récession qui nous frappe, et plus particulièrement au chômage.
La récession happe les plus vulnérables, dans la vie comme dans la mort: les chômeurs se tuent plus que les actifs, les employés et les ouvriers davantage que les cadres.

Avec 220 000 tentatives et plus de 11 000 morts chaque année, la France est un pays où l'on se suicide le plus au monde. Cela représente un taux de 14,9 pour 100 000 habitants quand la moyenne européenne est de 9,8.

La prévention est cruciale.

A chaque crise suicidaire dans une entreprise, l'opinion s'émeut, le gouvernement compatit. Mais aucune mesure n'est prise. Un immobilisme qui tranche avec l'agitation des pouvoirs publics autour du nombre de morts sur les routes, pourtant 3 fois inférieur. Un appel est lancé par Michel Debout et Jean Claude Delgènes, directeur d'un cabinet spécialisé dans les risques psychosociaux, pour la création d'un observatoire des suicides indépendant.
"La situation actuelle est dramatique mais on ne sait pas mesurer l'effet de la crise".

Les Hommes se suicident trois fois plus que les Femmes, à l'inverse beaucoup plus sujette aux tentatives.

L'hécatombe dans l'agriculture.
Quelques 800 cas de suicide par an chez les agriculteurs sur une population estimée à moins de 500 000.
Il y a un silence politique scandaleux autour du suicide paysan.

Le suicide des travailleurs n'était presque jamais reconnu comme un accident de travail. Et puis il y a eu  Orange, Renault, PSA.... et quelques 300 à 400 suicides chaque année.

C'est dans le domaine de la santé et de l'action sociale que l'on attente le plus souvent à ces jours, si l'on excepte le cas particulier des agriculteurs, puis dans la Fonction publique (police, enseignement,....).

Le suicide des détenus continue de battre tous les records, passant de 4 à 19 pour 10 000 personnes entre 1945 et 2010.

Dans l'entreprise certains modes de management pathogènes conduisent à la dépression professionnelle et au suicide.

Le harcèlement a toujours existé. Ce qui est nouveau quand on est harcelé aujourd'hui c'est qu'on est tout seul.

Le suicide est un tueur familial qui laisse les survivants en état de choc, avec leurs questionnements et leur honte.

Pourquoi veut-on mourir à 10 ans?
C'est le tabou des tabous dans notre société. Pourtant entre 30 et 100 enfants de moins  de 15 ans se suicident tous les ans. Un phénomène sous-estimé et en augmentation.

Il suffit d'un rien, une punition, une moquerie, une éraflure psychique, pour déclencher l'irréparable chez un enfant fragilisé.

CINQ IDEES FAUSSES SUR LE SUICIDE.

1- Les personnes qui parlent de leur intention de se suicider ne le font que pour attirer l'attention.
FAUX. Il faut toujours prendre au sérieux les menaces. Elles révèlent une souffrance qui peut précéder un passage à l'acte.

2- Les personnes qui se suicident souffrent de troubles mentaux.
FAUX. La majorité d'entre elles ne présente pas de troubles mentaux graves.

3- Quand quelqu'un veut vraiment mourir, il ne se rate pas.
FAUX. Toute tentative doit être considérée comme un acte grave. Il n'y a pas de lien systématique entre l'intention, la détermination et le moyen utilisé. De nombreuses personnes répètent leur tentative.

4- Parler du suicide peut inciter les personnes à passer à l'acte.
FAUX. En parler permet au contraire de dénouer les situations de crise et de reconnaître la souffrance de l'autre.

5- On ne peut pas faire de prévention car le suicide est imprévisible.
FAUX. La majorité des personnes en parlent (à leur médecin, à leur entourage....) avant de passer à l'acte.

Dans notre étabissement, lors de l'élaboration de nos projets d'établissement, cette dimension n'est pas prise en compte pour répondre a ce constat accablant. La politique de restrictions budgétaires empêchent tout projet novateur, mais ce que l'on déplore c'est quelle n'empêche pas toute idée novatrice.

Elaborons un projet qui prenne en compte l'ensemble des besoins des populations.
A nous de nous battre, ensuite, pour obtenir les moyents nécessaires.

jeudi 15 mars 2012

UNE POLITIQUE SCANDALEUSE AUX HÔPITAUX DE LANNEMEZAN.

Les différents plans d'économie dans notre établissement ont des répercussions dramatiques sur la qualité des Soins et la qualité des conditions de Travail.

Au delà de ce constat la traduction insidieuse de ces plans d'austérité, c'est le développement de la précarité et le developpement du chômage.

Pourquoi:

- la variable budgétaire c'est le non renouvellement des CDD,
- l'autre variable budgétaire c'est le non remplacement des Agents qui font valoir leur droit à la retraite.

Voilà l'avenir que l'on prépare à nos enfants.

Et les élus politiques dans tout ca?
Ils brillent par leur absence. Un exemple:

LA GREVE AU BRANCARDAGE.

Nous sommes dans la 6ème semaine. Deux articles dans la Semaine des Pyrénées et dans la Depêche du Midi.
Nous en profitons pour remercier ces deux journaux qui , eux, font leur travail d'information.

Mme Durrieu, Présidente du Conseil de Surveillance des Hôpitaux de Lannemezan, aucune nouvelle. Heureusement que de temps en temps nous l'apercevons au Salon de l'Agriculture. Nous n'avons pas les moyens pour aller a sa  rencontrer à Paris.
Mr Plano, Maire de Lannemezan, élu du Conseil de Surveillance, aucune nouvelle.
Nous nous arrêtons, car les 5 élus au Conseil de Surveillance  brillent par leur absence.

IL FAUT REAGIR!

La CGT des Hôpitaux de Lannemezan n'a pas hésité longtemps pour réagir à l'annonce du 5ème plan d'austérité, entériné par le directoire de notre établissement.

Si les Personnels sont d'accord, la riposte peut  rapidement se mettre en place.

Pour en débattre,
3 ASSEMBLEES GENERALES:

- Dès Lundi 19 mars, à 14H, au Local Syndical,

- Le même jour, à 16H, pour les Personnels à la journée,

- Le jeudi 22 mars, à 16H, à Camille Claudel, pour les Personnels des Structures extérieures.

Nous vous attendons.

mardi 13 mars 2012

LE 29 MARS, SALARIES DE LA SANTE ET DE LA PROTECTION SOCIALE, TOUS EN LUTTE.

Pour la reconquête de la protection sociale
Pour un grand service public de santé et d'action sociale.
Donnons les moyens aux salariés de nos secteurs

POUR UN GRAND 29 MARS DE LUTTES,
POUR UN GRAND 29 MARS DE GREVES ET DE MANIFESTATIONS!

Jamais notre protection sociale et notre santé n'avaient subi d'attaques aussi puissantes que ces 5 dernières années.

- Dans la Sécurité Sociale, toutes les branches sont touchées par des fusions, restructurations, abandon des pans entiers d'activité, suppressions massives d'emplois.

- A Pôle Emploi où la fusion a conduit à une situation désasteruse pour les demandeurs d'emplois et les personnels.

- Dans la MSA et dans le RSI où les mêmes causes qu'à la Sécurité Sociale produisent les mêmes effets allant jusqu'à mettre en péril l'existence même de ces régimes.

- Dans la Santé et dans l'Action Sociale encore plus fortement malmenée avec la loi HPST et ses conséquences directes l'offre de Soin et les conditiobns de travail des Personnels.

- Dans le privé lucratif, les activités les plus rentables sont monopolisées, les coûts salariaux réduits, pour dégager toujours plus de profits.

- Dans le médico-social la même stratégie est à l'oeuvre avec un mécanisme de fusions/absorptions des associations.

Dans le même temps les garanties collectives sont remises en cause, notamment par la dénonciation des conventions collectives et les attaques du statut de la fonction publique hospitalière.

C'est d'une autre politique, adossée à un véritable service public et à d'autres choix de société dont nous avons besoin englobant tous les pans de la protection sociale:

- le droit à la santé pour tous,

- le droit à l'autonomie,

- le droit à la maternité, à l'éducation des jeunes enfants, au logement,

- le droit de vivre sa vieillesse dignement,

- le droit à l'emploi,

- le droit à une action sanitaire et sociale, à la protection des plus faibles et des plus démunis.

Et pour cela, il est nécessaire d'agir sur tous les leviers qui contribuent au développement de la protection sociale et de son financement:




- Augmentation des salaires, des retraites et des minima sociaux,

- Suppression des exonérations des cotisations sociales et patronales,

- Arrêt de tous les licenciements, des suppressions d'emplois,

- Réforme de la fiscalité,

- Taxation des revenus financiers et développement d'une politique favorisant les investissements créateurs d'emplois.

"CHACUN PAYE SELON SES MOYENS ET RECOIT SELON SES BESOINS"

Le 29 mars, salariés de la santé et de la protection sociale,

ENSEMBLE, RASSEMBLONS NOUS PARTOUT POUR GAGNER  

dimanche 11 mars 2012

NOUS NOUS SOMMES TROMPES: NOTRE DIRECTEUR N'EST PAS UN GRAND DIRECTEUR!

Vendredi 9 mars 2012, nous avons découvert sa vrai nature. Il était temps.

Le directeur a tout fait pour empêcher la tenue de la réunion d'information dans la salle du CMC.
Il avait détaché toute la matinée le cadre supérieur du CMC pour brandir des menaces envers les Agents qui auraient souhaité participer à cette réunion.

Il a attendu le dernier moment pour refuser le prêt de la salle.

Il ne nous a même pas prévenu qu'il nous mettait la lettre de refus dans notre boîte aux lettres.

D'habitude quand il veut nous informer rapidement, il sait nous joindre.

Mais cela ne fait rien, sa politique de l'autruche ne fait que reculer les échéances.

Notre directeur a choisi son camp, son camp électoral.

En effet, il continue a appliquer , avec zèle, la politique du Président de la République sortant.

Il a proposé un 5ème plan d'austérité, en 3 ans, accepté par le directoire des Hôpitaux de Lannemezan.

Ce plan va encore supprimé des emplois, dégrader les conditions de Travail et les conditions de Soin.

Nous sommes surpris que notre présidente du Conseil de Surveillance n'intervienne pas pour le calmer.

En effet, il nous a semblé que le candidat qu'elle soutient lors de l'élection à la Présidence de la République, souhaite revenir sur la Loi HPST, cette loi qui asphysie les établissements de santé.

Nous espérons que cela, n'est pas qu'une promesse de campagne électorale. 

monsieur le directeur, il en faut un peu plus pour nous faire taire.

D'ores et déjà, 3 ASSEMBLEES GENERALES SONT PROGRAMMEES!

A SUIVRE.

mardi 6 mars 2012

LA CONCERTATION FERAIT-ELLE PEUR A LA DIRECTION DES HÔPITAUX DE LANNEMEZAN ?

Le statut de la Fonction Publique Hospitalière autorise les Représentants du Personnel a faire une heure d'information syndicale par mois, ou 3 heures par trimestre.

La CGT a décidé d'utiliser ce droit pour organiser une réunion au Centre Médico-Chirurgical, le vendredi 9 mars à 13H.

Pour cela nous avons réservé une salle de réunion au CMC, ceci afin de faciliter l'accès à cette information pour les Agents qui le souhaitent.

Nous n'avons pas respecté dans un premier temps le protocole de réservation, étant mal informé et rapidement nous avons remédié à cela.  Nous avons fait une demande de réservatiuon en bon et due forme.
La réponse, par un courrier du lundi 5 mars, est NON. Vous n'aurez pas la salle, elle est occupée ainsi que l'ensemble des salles du CMC.
La direction se trompe. Mardi 6 mars à 9H41, la salle est toujours libre.

Devant cette situation, nous avons pensé que le directeur est mal informé et nous avons réitéré notre demande de réservation, en respectant le protocole de réservation.

Nous ne pouvons pas penser que cette erreur, en fait, n'est pas due à une mauvaise information, mais à une volonté de la part de la direction d'empêcher la CGT de rencontrer les Personnels du CMC.

Non, ce n'est pas possible, connaissant la magnanimité de notre directeur, son sens du dialogue acquis par sa longue  expérience professionnelle, sa volonté de démocratie et de respect des DROITS SYNDICAUX.

NON ce n'est pas possible, il ne peut pas se rabaisser à une telle manoeuvre, digne d'un jeune directeur inexpérimenté, anti démocratique, qui a peur de la CGT et de ses Représentants.

Gageons que ce malentendu va se régler incessamment sous peu.

A VENDREDI, à la salle de réunion du CMC.

dimanche 4 mars 2012

LA DIRECTION DES HÔPITAUX DE LANNEMEZAN SE LANCE DANS L'HUMANITAIRE !

La grève de l'équipe du brancardage a révélé un malaise profond de l'ensemble des Services du CMC, du sous sol au premier étage.

Le CHSCT extraordinaire, demandé par la CGT, a acté ce malaise.
Des situations de travail, aux frontières de l'insécurité pour les Personnels, ont été evoquèes.
Des exemples précis ont été dénoncés, en Chirurgie, aux Urgences, au Bloc Opératoire, au Brancardage, .....  .

La direction, campe sur sa logique comptable. Le directeur ne veut rien entendre, s'énerve, invective les Personnels et leurs Représentants.

Mieux, il se lance dans l'Humanitaire, quitte à faire exploser le statut des Agents.

Il veut recenser des Agents qui accepteraient de venir travailler à l'appel téléphonique, lorsque les Urgences sont saturées.

Pourtant, il existe un moyen pour disposer d'Agents au pied levé:
ce sont les astreintes.
Nous lui avons proposé, il ne veut pas payer. C'est vrai que son dispositif coûte moins cher, c'est quasiment du bénévolat avec le risque que le jour où nous avons besoin des Agents pour répondre aux situations d'urgences, aucun ne soit disponible.

Depuis vendredi la responsable de l'association "Humanicaire" est en "chasse". 

A ceux qui se sont inscrits:
Posez vous cette question:

Qu'adviendra-t-il le jour où le service sera à un taux d'occupation de 50%?

L'association décidera , peut être, de vous renvoyer chez vous puisque le travail sera diminué par 2!

UNE SEULE SOLUTION!
Les besoins de renforcement des Urgences sont connus, cela se passe toujours pendant les mêmes périodes. Il suffit de mettre en place des astreintes pendant ces périodes.

Le statut est respecté, le code du travail également.