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mardi 28 mai 2013
samedi 25 mai 2013
jeudi 23 mai 2013
IL FAUT LES SOUTENIR, ILS DOIVENT BENEFICIER DE L'AMNISTIE.
La JUSTICE CE N'EST PAS CELA, Monsieur le Président!
C'est le dernier épisode d'un fol "acharnement judiciaire".
Tôt ce matin, à domicile devant leurs familles, les forces de l'ordre ont placé en garde à vue 2 Militants CGT. En effet ces derniers refusent catégoriquement les prélèvements ADN imposés par l'article 706 - 56 du Code de procédure pénale.C'est le dernier épisode d'un fol "acharnement judiciaire".
RAPPEL des FAITS.
Cinq syndicalistes de Roanne (Loire), membres de la CGT, CHRISTEL COSTE, CHRISTIAN OSETE, JEAN-PAUL BARNAUD, GERALD DIONIZIO et DIDIER MARCHAND, "les cinq de Roanne, comme on les appelle, sont convoqués le 22 mai pour un prélèvement ADN.
Une mesure humiliante qui les assimile de manière intolérable à de véritables criminels.
Les faits qui leur valent ce traitement sont pourtant insignifiants.Le 23 septembre 2010, vers 6 heures du matin, ces cinq agents du secteur public (ils sont hospitaliers ou employés de la société de fabrication de matériel militaire Nexter,ex GIAT), sont surpris par la police en train de taguer le trottoir et les murs de la sous-préfecture de la Loire, avant une manifestation.
Nous sommes en plein mouvement contre la réforme des retraites et leurs slogans visent surtout le député UMP de Roanne, partisant de la réforme.
Ils reprennent une citation du Président de la République de l'époque: "Nicolin, casse-toi pauv'con", "Nicolin, fossoyeur des retraites".
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